Nos instructeurs et leurs expériences dans les arts martiaux

SiGung Keith R. Kernspecht
SiGung Keith R. Kernspecht10ème grade maître
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Grand Maître Bill Newman
Grand Maître Bill Newman10ème grade Escrima
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Dai-SiFu Michael Schwarz
Dai-SiFu Michael Schwarz 8ème grade maître
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SiFu Rudi Vaneetvelde
SiFu Rudi Vaneetvelde6ème grade maître
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Dai-SiHing Laurent Simon
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SiHing Philippe Roussel
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SiHing Christophe Regau
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SiHing Sébastien Dupagne
SiHing Sébastien Dupagne
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SiGung Keith R. Kernspecht

SiGung Keith R. Kernspecht est le fondateur de l’Organisation européenne de WingTsun (Europäische WingTsun Organisation, EWTO) : www.wingtsunwelt.com

L’EWTO et l’organisation de Leung Ting, l’IWTA, sont partenaires. L’EWTO est aujourd’hui la plus grande organisation de WT à l’échelle mondiale et compte plus de 1100 écoles affiliées.

Kernspecht commença à s’intéresser aux arts martiaux dès son plus jeune âge et s’adonna dans les années 50 à la pratique de diverses disciplines martiales, telles que la lutte libre, le Jiu-Jitsu, le Judo, les karatés Shotokan et Wado Ryu, l’Hapkido, le Taekwondo, l’Aikido, etc. pour n’en citer que quelques-unes.

C’est seulement dans les années 70 que Kernspecht fit la découverte du WingTsun de Yip Man. Après avoir commencé son apprentissage, il n’enseigna très rapidement que ce style de Kung Fu complètement méconnu du public européen à ce temps-là. En 1975 et dans les années à venir, il invita Leung Ting, son SiFu, à donner annuellement plusieurs séminaires aux entraîneurs et élèves de WingTsun.

En 1982, Kernspecht fonda la WingTsun-Akademie au château de Langenzell près d’Heidelberg, en Allemagne, et créa le métier reconnu d’« instructeur d’arts martiaux ». En 2000, SiJo Leung Ting conféra le 10ème grade maître à Keith R. Kernspecht que lui seul détient jusqu’à aujourd’hui.

Aujourd’hui encore, Kernspecht travaille sans relâche au perfectionnement du curriculum de formation. Le flux d’informations en provenance de ses centaines d’écoles lui permet de publier un magazine propre à l’EWTO, de présenter un site professionnel, d’envoyer des circulaires aux membres, de proposer de nombreuses formations et un nombre gigantesque de livres spécialisés auprès de la maison d’édition de l’EWTO (EWTO-Verlag).

Grand Maître Bill Newman

Instructeur en chef de l’EWTO pour l’Escrima

Directeur d’école depuis : milieu des années 70

I had an itch I could not scratch!
« C’était comme une envie que je n’arrivais pas à assouvir ! »

Des années durant, je tenais une librairie. Au milieu des années 60, Brian Johnson passa la porte et voulait mettre la main sur tous les livres et magazines qui avaient d’une manière ou d’une autre à voir avec les arts martiaux. Il me raconta qu’il donnait cours d’arts martiaux. Ça m’a rendu curieux. Il ajouta qu’il enseignait le Wing Chun. J’avais envie de voir à quoi ça ressemblait et il m’accorda un cours d’essai. Et c’est là que j’ai commencé à vraiment être emballé. Au bout d’un moment, j’étais devenu une sorte d‘instructeur dans son club et finalement son bras droit. Lorsque Brian a déménagé, j’ai continué seul à gérer l’école. Je connaissais le directeur d’un club de JiuJitsu qui me raconta un jour que quelqu’un spécialisé dans le combat de bâton enseignait dans son école. Ce n’était autre que Rene Latosa, un soldat de la US Air Force stationné en Angleterre. Suite à cela, j’ai décidé de l’inviter dans mon école pour enseigner. C’est comme ça que j’ai commencé à pratiquer l’Escrima.

Par la suite, SiFu Kernspecht entendit parler de moi, car plusieurs magazines anglais d’arts martiaux avaient publié un article. Tout ça déboucha sur l’organisation d’un séminaire à Kiel. C’est comme ça que tout a commencé.

Parce que le feu de la passion brûle toujours. S’il venait à s’éteindre, je mettrais un terme à tout cela. Jusqu’à présent, cependant, rien n’a changé. Avant chaque entraînement, j’ai toujours des papillons dans le ventre.

Une expérience importante pour moi furent les premières heures de cours dispensées par Brian Johnson. Il m’a vraiment impressionné et transmis le virus. A part ça, le temps passé à l’EWTO a toujours été un vrai plaisir.

C’est Brian qui m’a remis mon premier grade. Bien que ce grade n’eût pas vraiment d’importance pour moi, j’ai trouvé le geste généreux. Par contre, le grade remis par Rene, c’était comme la distinction prestigieuse d’une université. Je n’ai pas accordé de valeur particulière au 5ième grade maître, vu que rien ne changea pour moi. Ce fut une autre histoire lorsque l’on me conféra le 10ième grade maître lors du premier stage international à Lübeck. C’était indéniablement un des instants les plus impressionnants de ma carrière d’artiste martial.

Dai-SiFu Michael Schwarz

SiFu : Élève privé de SiGung Keith R. Kernspecht depuis 40 ans

Instructeur en chef : Luxembourg et Wallonie

Grad : 8ième grade maître

QG : « École mère » à Püttlingen

Directeur d’école depuis : 1980

Interview à l’occasion des 40 ans de l’EWTO :

Le WingTsun marie les « techniques de combat » à l’enseignement et au savoir liés à la santé, l’énergétique et aux philosophies. C’est l’art de pouvoir combattre sans devoir passer à l’acte. Encore mieux : c’est l’art de vaincre sans avoir à combattre. Et enfin : vainc-toi toi-même, c’est ça la plus grande victoire.

Voici une version un peu plus détaillée de ce que le WingTsun signifie pour moi : le WingTsun n’est en fait qu’un nom que j’utilise pour décrire ce que je transmets aujourd’hui à mes élèves dans trois pays différents.

La version encore plus exacte serait la suivante : il y a environ 15 ans, j’aurais dit que le WT, c’était toute ma vie ; que c’est le meilleur système de combat et que j’ai la chance de pouvoir vivre de mon hobby. Après bientôt 40 ans de pratique, j’aimerais y apporter une nuance. Avec le WingTsun en tant que tel, il est bien sûr impossible de combattre. Ce n’est pas comme si c’était un objet qu’on peut prendre en main pour se défendre. Il ne s’agit que d’un mot ou de quelque chose d’abstrait.

Quand je pense au WingTsun, j’ai automatiquement en tête l’image de mon mentor, GM Keith R. Kernspecht. Sa manière d’enseigner a donné vie au système. Des décennies durant, il m’a donné une structure et il a ensuite « ouvert des portes ».

Derrière chaque porte se trouve une pièce qui rend le système toujours plus riche et complexe. J’ai appris et apprends toujours aussi grâce à d’autres enseignants qui n’ont rien à voir avec les arts martiaux, mais je me rends compte qu’il existe beaucoup de parallèles. J’emprunte un chemin que je n’aurais jamais parcouru si mon SiFu ne m’avait pas donné l’inspiration. Cher SiFu, je tiens à te remercier pour tes conseils et j’espère que tu m’enseigneras encore pendant de nombreuses années.

Je suis un enfant de ma génération et les premiers films que j’ai regardé étaient de Bruce Lee. J’ai appris le Judo, le Karate et un petit peu de boxe. Et un beau jour, j’ai découvert quelqu’un qui enseignait le style que Bruce Lee avait lui-même appris auprès de son entraîneur, à savoir Yip Man. C’est comme ça que tout a commencé…

A ce propos, j’aimerais citer trois raisons principales :

Premièrement, ce que j’associe au concept du WingTsun déclenche tellement de choses en moi qu’il m’est tout bonnement impossible de m’en séparer.

Deuxièmement, je me décrirais comme étant quelqu’un de conservateur qui croit aux traditions et valeurs : la loyauté envers mon SiFu me permet de m’accrocher au WingTsun.

Troisièmement, mes élèves ! Et tout particulièrement ceux qui n’étaient que des enfants lorsqu’ils commencèrent leur apprentissage il y a des décennies et qui sont toujours là en tant qu’adultes. Je fais notamment référence aux cinq personnes (sur les 35 participants) qui se tenaient devant moi en 1980 lors de mon premier séminaire et qui sont toujours mes élèves aujourd’hui.

Le WingTsun m’a fait vivre tellement de chose. Je ne pourrais vraiment pas dire quelle était la plus belle expérience. Peut-être le fait que je suis entré en contact avec des milliers de personnes grâce au WingTsun ? Peut-être le sentiment ressenti lorsque j’ai – du haut de mes 19 ans et dans mon école fraîchement ouverte – donné mon premier cours à 40 hommes, dont certains avaient le double de mon âge ? Le fait d’avoir très bien vécu mon service militaire après avoir fait un inch punch sur le torse d’un haut gradé de l’armée ? Il a, soit dit en passant, porté les traces de l’hématome pendant deux semaines. La fierté ressentie lorsque trois de mes élèves ont réussi leur 5ième grade maître ? Ou peut-être tout simplement le moment où – pour la première fois – SiFu, SiMo et moi-même avons dégusté un café et du « Christstollen » (pain d’épice typique) dans la tour du château de Langenzell ?

Il y a bien longtemps, j’ai passé mon 1er grade supérieur et, des années plus tard, mon 5ième grade maître. Il s’agissait d’une différence empreinte de logique qui était facile à faire comprendre aux élèves. L’examen final, la troisième partie, était un séminaire de trois jours en octobre 1984 auquel n’étaient acceptés que des élèves passant leur examen. En amont, nous avions déjà participé à deux autres séminaires de trois jours dans le courant de la même année. A la fin, j’étais plutôt K.O. et couvert de bleus, mais heureux. J’avais réussi et c’était quelque chose de génial pour moi. Le seul maître en Europe à ce temps-là, c’était mon SiFu avec son 6ième grade maître.

Quinze ans plus tard, j’ai réussi les examens pour décrocher le 5ième grade maître. C’était pour moi le passage dans un « nouvel univers » : environ 20 ans auparavant, je commençais le WingTsun. Et à ce moment-là, mon objectif avéré était d’atteindre le 8ième grade élève.

Et il y a encore quelque chose que j’aimerais ajouter : je n’ai fait que parler de WingTsun, alors que j’ai pratiqué l’Escrima pendant plus de 20 ans. Pour des raisons de temps, cependant, je ne peux continuer mon entraînement que dans un seul de ces deux arts martiaux. Mais je désire quand même mentionner l’Escrima. Le plus important pour moi est le lien d’amitié que j’entretiens avec Bill Newman et qui a été mon invité pendant plus de 20 ans, quand il venait nous donner cours deux fois par an durant plusieurs jours. J’ai adoré le temps passé ensemble.

SiFu Rudi Vaneetvelde

« J’ai toujours été fasciné par les capacités des pratiquants d’art martiaux. Je n’ai pas eu l’opportunité de pratiquer ni à l’enfance ni à l’adolescence. Ce n’est qu’à l’âge adulte que les portes des clubs de combat s’ouvrirent pour moi. Je les ai franchies et poussées sans relâche.

Ayant pratiqué plusieurs styles de boxe (anglaise, kick-boxing et thaï), je me rendais bien compte des difficultés à pouvoir sortir gagnant contre un adversaire avec une capacité physique supérieure à la mienne.

Au fond de moi, j’étais convaincu qu’il devait exister un système permettant à une personne ayant un physique « standard » de sortir indemne, voire même gagnant, d’un conflit contre un ou plusieurs adversaires plus « forts » ou « enragés » que soi. Bien sûr, il faudrait s’entraîner et dépasser ses limites mais tous ces efforts ne seraient pas vains.

C’est alors que je découvre le WingTsun : le système tant recherché existait bien. Le WingTsun devint pour moi comme une religion, un mode de vie.

Ma détermination et mes efforts m’ont ouvert d’autres portes. J’ai eu la chance d’être formé par les meilleurs et leurs élèves directs, et même de devenir un de leurs élèves privés. Grâce à leur soutien, j’ai également pu transmettre mon savoir : j’enseigne depuis 2001. Pour compléter mon apprentissage martial, j’ai ajouté l’Escrima à mes entraînements afin d’avoir une maîtrise des armes blanches.

Je suis également content qu’une partie de mes élèves poursuivent ce chemin et enseignent à leur tour.

Mes soirées et mes week-ends se divisent entre les cours que je prends en Allemagne avec mon SiFu, Michael Schwarz, les divers stages pour parfaire mon apprentissage et les cours que je donne à Namur aussi bien pour les instructeurs que pour les élèves débutants.

J’espère que la pratique du WingTsun et / ou de l’Escrima t’apportera autant que ce qu’elle m’a apporté, et plus encore. »

Dai-SiHing Laurent Simon

« Depuis l’âge de six ans et durant de nombreuses années, j’ai pratiqué le judo, le jiu-jitsu, le taekwondo et l’hapkido. Malgré mon expérience grandissante, j’ai constaté que ces arts martiaux ne se suffisaient pas à eux-mêmes. En effet, chacun étant spécialisé dans un domaine particulier, la pratique de plusieurs d’entre eux est nécessaire pour gagner en efficacité en situation d’auto-défense.

De plus, la condition physique prenant une part importante de l’entraînement, j’ai commencé à douter de l’efficacité de ces arts à un âge avancé. Pourtant, c’est probablement la période de notre vie où nous sommes le plus exposés au danger.

Après quelques recherches sur le net et dans des magazines, j’ai découvert le WingTsun en 2007 au sein de l’école de Namur, dirigée par SiFu Rudi Vaneetvelde, plus haut gradé en Belgique. J’ai testé ce système, qui m’a convaincu par ses concepts, totalement en phase avec la réalité de la rue.

Après deux ans de pratique, j’ai décidé de devenir « Assistant », me permettant de faire mes débuts dans l’enseignement du système, sous la direction de SiFu Rudi.

En 2013, j’ai commencé à me déplacer en Allemagne de manière mensuelle, afin de m’entraîner auprès de Dai-SiFu Michael Schwarz, un des plus hauts gradés de l’Organisation européenne de WingTsun.

En 2016, après avoir suivi la formation « Entraîneur », j’ai ouvert ma propre école à Ciney, au sein de laquelle j’enseigne aux adultes et aux adolescents dans une ambiance familiale et décontractée. »

SiHing Philippe Roussel

« Passionné de films d’arts martiaux depuis mon plus jeune âge et m’intéressant à la résolution de conflits physiques et culturels, j’ai commencé à pratiquer les sports de combat quand j’étais ado. Après avoir boxé et pratiqué le Krav Maga un certain temps, je me suis tourné vers l’étude du Lapunti Arnis de Abanico, avant de faire la découverte du WingTsun et de l’Escrima, deux arts de combat terre à terre et efficaces en cas d’agression. Aujourd’hui, je ne cesse de m’entraîner à Namur et en Allemagne, en cours collectifs et privés, sous la tutelle de Sifu Rudi et de Si-Fu Michael, les pionniers du WingTsun en Wallonie et en Europe.

Le WT et l’Escrima sont des arts de combat géniaux : ils permettent de se défendre contre plus forts, tenaces et rapides que soi, sans pour autant se détruire le corps. La pratique régulière permet également de renforcer son corps et son esprit, tout en restant relâché. De plus, il s’agit d’une pratique sportive s’adaptant parfaitement à ta vie privée et professionnelle.

Si, toi aussi, tu désires savoir te défendre : viens jeter un coup d’œil dans l’une de mes écoles. Je me ferai un plaisir de t’initier à ces deux arts de combat particulièrement efficaces, tout en préservant ta santé. »

SiHing Christophe Regau

« Je pratique les arts martiaux depuis mon enfance. J’ai débuté à l’âge de 6 ans avec le Judo et poursuivi pendant toute mon adolescence avec l’Aïkido. Ces arts martiaux japonais développent force, souplesse, équilibre, ils apprennent à chuter et à se relever, mais également le respect du maître et de ses partenaires.

Malgré tout le bienfait que m’ont apporté ces arts martiaux, il m’arrivait d’en remettre en cause l’efficacité. L’apprentissage était fait d’une collection de techniques constituant une réponse donnée à une situation donnée prédéterminée et n’abordait que superficiellement le combat de rue qui ne suit aucune règle préétablie.

Je découvre le WingTsun en 1998. Cet art martial fonctionnel et réaliste fondé sur une approche quasiment scientifique du combat m’a tout de suite séduit.
Je m’entraîne à l’époque plusieurs années au sein d’une école de l’EWTO à Bruxelles mais interromps mon apprentissage entre autre pour cause de déménagement.

En 2017, je découvre qu’une école existe à Namur et dès le début je retrouve le même plaisir à le pratiquer, d’autant que son enseignement a subi une évolution phénoménale. Les notions d’art martial interne y sont totalement intégrées et d’autres disciplines comme le ChiKung et l’Escrima en complètent le cursus.

Je ne cesse depuis lors de m’entraîner au sein de l’Académie dirigée par SiGung Michael Schwarz (8ème grade Maître) et de l’école de Namur dirigée par SiFu Rudi Vaneetvelde (6ème grade Maître).

Je m’initie également à l’Escrima entre 2017 et 2021. Les concepts rejoignent ceux du WingTsun. L’Escrima permet d’appréhender le maniement des armes blanches et améliore considérablement les déplacements, le timing, la gestion des distances et du stress.

En 2020, ma détermination à m’améliorer me pousse à ouvrir une école à Wavre. J’y enseigne depuis lors, ainsi qu’à Louvain-la-Neuve depuis 2022.

Viens découvrir et pratiquer cet art martial très complet aux techniques d’apprentissage en constante évolution! Si tu es curieux, respectueux, passionné et soucieux de te dépasser, tu es le.la bienvenu.e dans mon école, quelque soit ton passé martial, ton âge ou ta condition physique. »

SiHing Sébastien Dupagne

« Alors que j’étais gymnaste depuis plusieurs années, je ne cessais d’insister auprès de mes parents pour débuter les arts martiaux. Ensuite, en 1999, lorsque mon père a enfin accédé à ma requête, je suis arrivé dans l’école de Karaté Shotokan de Jacky Lemaire. Cette ouverture dans le monde des arts martiaux n’a fait qu’attiser mon intérêt pour la chose jusqu’à en devenir le cœur de mon travail de fin d’année scolaire “L’influence des arts martiaux et des sports de combat sur les jeunes”.

Ne cessant de comparer les styles tout en travaillant différentes armes à la maison, j’ai pratiqué aussi le combat libre avec une poignée d’autres pratiquants d’autres styles afin de trouver l’efficacité que je recherchais.

La précision technique du Karaté me fascinait mais je cherchais quelque chose de plus proche de la rue et, en 2004, c’est dans une école de Kung Fu que je l’ai trouvée. J’y ai découvert le Wing Chun ainsi que le Wutao des cinq animaux (Serpent, léopard, tigre, grue et mante) que j’ai pratiqué en cours collectifs et privés jusqu’à ce que les aléas de la vie me fassent pousser la porte d’une autre école.

En septembre 2007, je suis entré dans l’école de Sifu Rudi Vaneetvelde pour y pratiquer intensément l’Escrima Latosa et le Kung Fu Wing Tsun, séduit par la meilleure structure de progression et son approche du sens de la réalité par le programme de Blitz Défense entre autres. J’ai donc relégué au second plan les frappes artistiques pour me concentrer sur l’efficacité démontrée par mon Sifu lors de chaque entraînement.

En 2019, Sifu m’a fait l’honneur de l’assister pour les cours enfants jusqu’à l’arrêt de ceux-ci en 2023. A présent, j’ai la chance de pouvoir ouvrir mon école à Loverval pour réaliser enfin le rêve de vous partager ma passion du Wing Tsun et de son efficacité redoutable dans le respect du corps et des personnes. »

INFORMATION

Nos directeurs d’école assurent la diversité des cours et s’entraînent hebdomadairement pour en assurer la qualité.

De plus, nos instructeurs sont contre toutes formes de violence : les techniques enseignées ne sont à utiliser que dans le cadre de la légitime défense, conformément à la législation du pays dans lequel tu te trouves.